« Cela m’a éviscérée », C’est en ces termes que la star Jennifer Lopez aborde les articles de presse assassins parus pendant le tournage du film Gigli. « J’ai perdu pied, j’ai remis en question mon appartenance à ce métier, je me suis demandé si je n’étais pas mauvaise en tout. Et ma relation avec Ben s’autodétruisait devant les yeux du monde entier. »
Dans Vanity Fair, presque quinze ans après la sortie du film, Jennifer Lopez s’en rappelle encore comme d’un traumatisme : Sorti en 2003, après la rupture du couple, Gigli est précédé d’un énorme bad buzz qui se confirme par un énorme flop. Personne n’est capable aux Etats-Unis de prononcer correctement le titre du film. Il n’est pas seulement mauvais, il agace. En 2004, Gigli récolte six Razzie Awards, ces oscars qui récompensent le mauvais cinéma et, l’année suivante, le Razzie de la pire comédie des 25 dernières années.
JLo a eu du mal à se remettre d’un tel échec, aussi bien sentimental que professionnel : « Il m’a bien fallu deux ans pour remonter la pente. » Depuis, le syndrome de Gigli désigne ces comédies vouées à l’échec dès leur production, quand le scénario est insipide et que ces stars ne s’entendent pas.
Depuis le début de l’année, Jennifer Lopez fréquente l’ancienne star du baseball Alex Rodriguez. Ce mois-ci, le couple de 48 et 42 ans affiche son bonheur en couverture du magazine Vanity Fair, édition américaine. Elle revient sur son ex Ben Affleck et leur film maudit, Gigli, dans la grande interview qu’a accordée la bomba latina au magazine.
Bien avant Alex Rodriguez, son danseur Casper Smart et même son mariage avec Marc Anthony, Jennifer Lopez a vécu une grande histoire d’amour avec Ben Affleck de juillet 2002 à janvier 2004. Mais on eut la mauvaise idée de toute leur vie avec ce film.Une comédie considérée encore aujourd’hui comme l’un des pires films jamais produit et réalisé par Hollywood.
Jolie palmarès JLO !