Dans l’est de l’inde, Pramodini Roul, une indienne âgée de 25 ans, victime des effets de l’acide que le soldat paramilitaire de 28 ans a lancé sur son visage pour cause de n’avoir pas accepté se marier avec lui, alors qu’elle rentrait chez elle après avoir passé un examen avec son cousin, a enfin trouvé son âme sœur.
Tout à commencé avec son future mari lorsqu’elle était sur le lit de l’hôpital pour les soins médicaux. Cette dernière a été hospitalisé et a subit des traitements churigicaux car cet acide jeté sur elle à l’âge de 15ans alors qu’elle était encore au lycée l’a laissée des brulures faciales et une cécité des deux yeux. De plus, Elle a aussi connu des traitements dans un hôpital privé pour les problèmes de santé qui l’ont tourmentée à la suite de son épreuve, dont une infection aux jambes en 2014.
C’est ainsi qu’en 2014 que l’athlète Saroj Kumar Sahoo âgé de 26ans, l’ami de l’infirmière a rencontré la survivante dont sa famille appelle affectueusement Rani ou reine. Il faut noter que Rani a passé près de quatre mois aux soins intensifs et passé quatre ans au lit chez elle à Odisha, auprès de sa mère, veuve, qui prenait soin d’elle seule, pansant ses blessures.
Vu la situation que traversait rani et sa mère qui ne cesse de pleurer désespérément, Saroj Kumar Sahoo a alors décider de commencer à rendre visiter Rani en passant huit heures tous les jours avec elle pour remonter son moral. Et Comme leur amitié devenait plus profonde et plus forte, les deux ont exprimé leurs sentiments l’un pour l’autre mais Rani était d’abord sceptique d’être dans une relation, car elle sentait qu’elle n’était pas prête pour cela. Rani et Saroj ont été finalement acceptés par leurs familles, et vivent ensemble depuis un an à New Delhi. Ils envisagent maintenant de se marier mais en attendant d’avoir d’autres chirurgies reconstructives.
Il faut préciser qu’après qu’elle ait souffert pendant près d’une décennie, son cou a commencé à se pencher alors que la peau de son épine dorsale a complètement fondu. Elle continue de suivre des traitements pour ses yeux, car elle est seulement capable de voir à peine et a également besoin de chirurgies plastiques sur sa tête qui une grande partie de la peau est froissée. Mais le soldat qui l’a agressé n’a pas été arrêté, a assuré Rani la victime.