Encore appelé s3xe oral, le cunnilingus serait une option de traitement improbable contre le cancer. L’acteur et producteur de cinéma américain, Michael Douglas âgé de 73ans avait déclaré que son cancer de la gorge provenait de sa pratique effrénée du sexe oral! Une étude menée par la State University of New York, prouve que le cunnilingus sécrèterait des hormones telles que la DHEA et l’ocytocine qui combattent activement les toxines cancérigènes. Cela signifie que pendant cet acte, le corps lutte contre les tumeurs.
Les hormones DHEA
L’efficacité des hormones DHEA contre le cancer consiste à bloquer le glucos-6-phosphate déshydrogénase, une enzyme liée à certains processus cancéreux, et à freiner l’effet oxydant des substances chimiques cancérigènes. Selon des études contrôlées sur l’homme, un niveau élevé de la DHEA augmente la masse musculaire, améliore la mémoire, renforce la densité osseuse, combat le stress et la dépression, restaure l’immunité, protège le cerveau, diminue les symptômes du lupus systémique érythémateux et réduit les risques de diabète et de maladies cardiovasculaires.
L’ocytocine
Quelques recherches ont montré que l’ocytocine, avec d’autres endorphines, libérée durant l’orgasme à un effet relaxant. D’après une étude australienne, l’ocytocine permet de lutter contre le cancer du sein en inhibant le développement et la prolifération des cellules cancéreuses. Il a également été prouvé que cette hormone de l’attachement améliore la qualité du sommeil (critère qui lui-même favorise la santé cardiaque), réduit le stress, l’anxiété et les états dépressifs.
Bon à savoir :
D’après une étude américaine réalisée sur 30.000 hommes, l’éjaculation fréquente protègerait l’homme du cancer de la prostate. Chez ces messieurs et chez vous chers dames, faire l’amour trois fois par semaine fait gagner dix ans d’espérance de vie.
Le cancer, est la prolifération anarchique de cellules anormales dans le corps, elles peuvent être malignes (cancéreuses) ou bénignes (non cancéreuses). Dans le premier cas, les cellules se constituent petit à petit dans l’organe de départ du cancer. Il est très important de savoir qu’il existe de nombreux types de cancers, en fonction de l’organe affecté. Ceux-ci se développent de différentes façons et réagissent également à des traitements bien différents. Les facteurs de risque de cette maladie sont multiples, certains peuvent être internes : à savoir l’âge et les antécédents familiaux ou externes qui sont plutôt liés à nos comportements et habitudes de la vie quotidienne.