Faits divers

Sénégal : le ministre Moustapha Diop incapable d’aligner cinq (5) phrases correctes en français 

De la honte au plus haut niveau ce week-end à l’Assemblée Nationale Sénégalaise. Le nouveau ministre de l’Industrie et de la Petite et Moyenne Industrie, Moustapha Diop, semble ne pas avoir une maitrise tout au moins partielle de la langue française. Il s’est offert en spectacle au cœur de l’Assemblé Nationale devant les parlementaires de tous bord qui ont dévoré du regard la risée du moment à l’assemblée occasionnée par une verve mal articulée du ministre Moustapha Diop.

En effet, lors de son passage devant la commission technique le samedi 28 octobre 2017, Moustapha Diop le nouveau ministre de l’Industrie et de la Petite et Moyenne Industrie, a  été incapable de manier la langue de Molière et a étalé sans tâche ses faiblesses intellectuelles qui ont explosé une bombe du rire et de la satire dans l’enceinte de l’Assemblée Nationale.

A en croire le journal Les Echos, Moustapha Diop a montré toutes ses limites et a prouvé qu’il n’a ni le niveau, ni l’intelligence, ni la capacité intellectuelle, encore moins la possibilité de diriger un ministère aussi technique. À l’Assemblée nationale avant-hier samedi, Moustapha Diop était incapable d’aligner cinq (5) phrases correctes en français.

Au début, il avait commencé à répondre en Wolof aux questions qui lui étaient posées. Se rendant compte qu’il mettait mal à l’aise les parlementaires, il a commencé à jeter un coup d’œil aux notes que lui balançaient ses différents directeurs, a précisé le journal.

Mais très vite, le ministre n’a pas tardé à craqué et s’est mélangé les pédales. Il lisait difficilement les notes, incapable d’articuler et d’expliquer clairement aux parlementaires les préoccupations que ces derniers exposaient.

Mais toutefois, on aurait bien gardé en mémoire de cette scène de l’héros Moustapha Diop, le nom du président de la commission, Cheikh Seck qui s’est apparu tel un messie et a su sauver par justesse le ministre. Pour ne pas l’exposer davantage à la risée des députés et l’indisposer plus à cause de son rang, Cheikh Seck lui a dit que la loi prévoyait d’arrêter les débats et de répondre plus tard par écrit.

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