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Bénin : Constantin Amoussou tacle Reckya Madougou, Koovi, Zanou, Agbahoungbata, Djogbénou et consorts

Au Bénin, le chroniqueur Constantin Amoussou a fait une publication dans laquelle il accuse plusieurs autorités béninoises d’imposteurs et de criminels. Se disant très en colère, l’homme accuse Reckya Madougou d’être indifférence à la fusillade des Togolaises et Togolais qui mènent aujourd’hui, le combat que chez elle, elle livra hier.

A l’en croire, Bertin Koovi, pendant qu’il combattait et convoitait le fauteuil présidentiel, en dénonçant la tentative de confiscation du pouvoir par Yayi, soutenait à fond la dynastie des N’guéma en Guinée Équatoriale, et la révision de la constitution pour le maintien de N’GUESSO au pouvoir au Congo Brazza.

Janvier Yahouédéhou, martin Assogba, Kassa Barthélémy ( Ppea 2) et André Okunlola ( Machines agricoles), Wilfried Houngbédji et Jacques Ayadji, « pour qui tant de Béninois auraient jadis donné leur pénis à couper » ; eux qui comme Agbahoungbata et Djogbénou vivent, mettent en oeuvre et soutiennent, la mise sous coupe des mouvements estudiantins »  et Célestine Zanou qui disait se battre pour les valeurs et une dynamique démocratique et était cependant une très proche amie politique de Blaise Compaoré, assassin de Thomas Sankara, modèle de son disciple Bienvenu n’ont pas échappé à cette attaque de Constantin Amoussou.

Lire l’intégralité de sa publication

Et c’est ce que je ne comprends pas chez nos hommes politiques, tous des imposteurs. Reckya Madougou a soutenu pour le BÉNIN, triomphalement, le combat de l’alternance ( un mandat de 5 ans renouvelable une seule fois. En aucun cas, nul ne peut faire plus de 2 mandats). Mais au Togo, chez nos frères voisins, elle oppose une cruelle indifférence à la fusillade des Togolaises et Togolais qui mènent aujourd’hui, le combat que chez elle, elle livra hier.

Bertin Koovi, pendant qu’il combattait et convoitait le fauteuil présidentiel, dénonçant la tentative de confiscation du pouvoir par Yayi, soutenait à fond la dynastie des N’guéma en Guinée Équatoriale, et la révision de la constitution pour le maintien de N’GUESSO au pouvoir au Congo Brazza. Comme d’ailleurs Célestine Zanou qui disait se battre pour les valeurs et une dynamique démocratique et était cependant une très proche amie politique de Compaoré, assassin de Sankara, modèle de son disciple Bienvenu…

Comme Janvier Yahouédéhou qui combattit tour à tour les scandales financiers sous KÉRÉKOU et Yayi, mais devient muet comme une carpe devant OFMAS, et pousse l’outrecuidance jusqu’à appartenir au BMP, aux côtés de Kassa Barthélémy ( Ppea 2) et André Okunlola ( Machines agricoles). Comme Martin Assogba et Jean-Baptiste ELIAS que plus rien n’indigne. Comme les promoteurs et disciples de la Nouvelle Conscience, dont on ne comprend plus rien de létat actuel de la conscience.

Comme Wilfried Houngbédji et Jacques Ayadji, pour qui tant de Béninois auraient jadis donné leur pénis à couper ; eux qui comme Agbahoungbata et Djogbénou vivent, mettent en oeuvre et soutiennent, la mise sous coupe des mouvements estudiantins. Voilà pourquoi hélas, nous serons tous suspects à l’avenir devant les électeurs, dussions-nous jurer notre bonne foi sur la tombe de nos pères, et les fesses de nos mères.

SERIONS-NOUS TOUS DES CRIMINELS EN PUISSANCE, DES HOMMES ET FEMMES À LA CONSCIENCE VENDABLE, ACHETABLE? 2025 est proche, et WAHALA galope, faisant de chacune des figures là-haut citées, ses chevaux de courses. Je suis en colère. Constantin Amoussou.

 

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