Le footballeur burkinabé Aristide Bancé a apporté un démenti ferme à la rumeur selon laquelle, il serait l’auteur de la grossesse que porte l’artiste Claire Bahi. En effet, Claire Bahi, en retrait de la scène musicale ivoirienne depuis un bon moment, connaîtra d’ici peu la joie de la maternité.
L’auteur de la grossesse de l’artiste ivoirienne Claire Bahi n’est pas encore connu officiellement. Et nombreux sont ceux qui pointent du doigt l’international burkinabé Aristide Bancé.
C’est pourquoi, accusé par certains d’être le père de l’enfant qu’attend la première dame du coupé décalé, le footballeur burkinabé Aristide Bancé a nié toute responsabilité dans cette affaire de grossesse.
Et pour lever un coin de voile sur cette affaire semblable à celle de Serey Die Josey, l’international burkinabé Aristide Bancé a rejeté la paternité de la grossesse que porte l’artiste ivoirienne Claire Bahi.
« Je ne suis pas l’auteur de sa grossesse. Que les gens arrêtent de raconter n’importe quoi. Ça fait 4 ans qu’on se voit pas. Quand l’enfant naîtra on saura qui est son père » a souligné Aristide Bancé.
Telle l’affaire Serey Die Josey, aucune réaction de Claire Bahi n’a été enregistrée. L’artiste attend certainement la naissance de son enfant pour révéler l’identité de l’auteur de sa grossesse. On est donc tenté de dire que Claire Bahi entretien pour l’instant le mystère autour de sa grossesse.
Les dessous d’une relation amoureuse cachée…
La relation amoureuse qu’il y a entre Claire Bahi et Aristide Bancé n’a jamais été officialisée. Et pourtant, les deux ont été aperçus à diverses reprises ensemble. C’est donc l’épisode de la grossesse de Claire Bahi qui a réveillé à nouveau les vieux démons d’une relation amoureuse cachée.
A cause de cette relation caché qu’il a entretenu avec l’artiste, le footballeur burkinabé a du mal à convaincre de nombreuses personnes même s’il n’est pas passé par le dos de la cuillère pour rejeter la paternité de l’enfant de la chanteuse ivoirienne et première dame du coupé décalé . Toutefois, comme l’a si bien souligné l’international burkinabé Aristide Bancé, « Quand l’enfant naîtra on saura qui est son père».
