A 93 ans, il a passé déjà la bague au doigt de 86 femmes ; mais ce n’était que les conquêtes officielles. Ce Casanova nigérian du nom de Muhammadu Bello Masaba décédé récemment à l’âge de 93 ans pensait détenir la palme d’or de la performance en matière de collection de femmes.
En 2008, un tribunal islamique chargé de l’application de la charia l’avait interpellé pour « union illégale avec 86 épouses » et « mépris ostentatoire des lois religieuses » qui prescrivent un maximum de quatre conjointes. Mais il opposa son refus de divorcer avec le surplus. Incarcéré, il dû être relâcher après une série de manifestations de son harem.
Sa progéniture s’élève à 170 rejetons. Mais il est loin d’être l’homme de la performance illégalée. En effet, la performance de son compatriote Fela Kuti est en tout cas battue de loin qui démontra sa performance en mariant lors d’une cérémonie vodoun toutes les 27 membres féminin de son groupe au même moment qu’il épousait sa première femme.
Mais aucun des deux nigérians ne faisaient le poids face aux rois successifs du Swaziland qui ont inscrit leur nom en lettre d’or dans l’annale des hommes à grande performance qui ont cumulé femmes et enfants.
Par exemple, Sobhuza II, monarque de 1968 à 1982, aurait convolé en juste noce à 70 reprises et aurait eu 210 enfants. Mais lui aussi vient loin derrière le kényan Acentus Akuku, décédé en 2010 à l’âge de 94 ans qui se prend pour le champion toute catégorie dans le domaine. En effet, il se serait marié avec 131 femmes avec des progénitures qui avoisinent 300.
Surnommé «Danger », il fit sa dernière conquête en 1997 où il épousa une fille de 63 ans moins âgée que lui. Le point commun entre tous collecteurs de femmes, c’est qu’ils ont toujours une longévité relative. D’où tirent-ils autant d’énergie ? Mystère.